BIENVENUE SUR LE PORTAIL DU RÉSEAU FLUCHT-GENDER.DE

Ce site web est consacré à la situation, aux besoins et aux droits des filles et des jeunes femmes réfugiées. Le site rassemble des infos sur les structures de soutien, les offres de conseil, les publications, les campagnes et les prises de position. La base de données aide à trouver rapidement des offres, des groupes et des actions dans le Land choisi ou au niveau national. Elle est destinée à s’agrandir et à s’élargir – vos indications pour de nouvelles entrées y contribuent également.


Base de données

La base de données rassemble des organisations nationales, des offres de conseil, des publications, des campagnes et des prises de position qui sont importantes pour les filles et les jeunes femmes réfugiées. Les offres sont actualisées et élargies en permanence. La fonction de recherche permet, grâce à des liens, de trouver des interlocuteur·ices, des offres et des matériaux spécifiques aux thèmes dans toute l’Allemagne.

Vous avez une proposition d’entrée ? Vous pouvez effectuer vous-même vos inscriptions via le formulaire. Avec vos entrées, vous contribuez à la croissance de cette importante base de données.


Refugee Law Clinic Trier e.V.

Site web/URL : https://rlc-trier.de
Adresse : Gartenfeldstraße 22, 54222 Trèves
e-mail : [email protected]
Téléphone : +0651/2013895
Téléphone portable :
Télécopieur:
Autres coordonnées:
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(article) Les femmes (ne) sont un groupe social?! Sur la notion de persécution spécifique aux femmes dans la jurisprudence actuelle, 2023

Nom de l’éditeur : Asylmagazin
Brève description :
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(Jugement) La CJCE rend une décision de principe sur la persécution liée au sexe, 2024

Nom de l’éditeur : CJCE
Brève description :

Par le passé, les femmes fuyant

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(Rapport) Prévenir et combattre la violence à l’égard des femmes et la violence domestique, 2022

Nom de l’éditeur : GREVIO
Brève description :

Le 7 octobre 2022, le groupe

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Glossaire

Le glossaire décrit les différents thèmes qui peuvent être sélectionnés dans les catégories de la base de données. Le glossaire permet d’identifier le soutien le plus concret et le plus adapté à la recherche de soutien.

On parle de motifs d'exil liés au genre lorsque la cause de la persécution est liée au genre ou à l'identité sexuelle d'une personne.

La persécution liée au genre comprend des actes tels que les MGF/E (imminentes) (mutilations génitales féminines / excision) , les mariages forcés, la traite des êtres humains, la "violence au nom de l'honneur", les agressions sexuelles et la violence domestique. Le groupe concerné par la persécution liée au genre comprend principalement les personnes lesbiennes, gays, bi-, inter- et transsexuelles ainsi que les personnes queer (en bref : les personnes LGBTIQ+).

La violence liée au genre dans le contexte de l'exil est prise en compte différemment dans la procédure d'asile allemande, selon que la persécution a eu lieu dans le pays d'origine, pendant ou après la fuite. Informations complémentaires sur la procédure d'asile et les exigences posées aux centres de consultation spécifiques à ce thème : bff - Frauen gegen Gewalt e.V.

Les MGF/E comprennent l'ablation violente et non réversible des organes sexuels externes féminins. Dans plus de 30 pays, les MGF/E sont considérées et appliquées comme une tradition, une norme sociale ou religieuse, et dans la plupart des cas, l'intervention est pratiquée sur des filles âgées de quatre à 14 ans. Les risques physiques qui mettent la vie en danger peuvent entraîner des dommages permanents pour la santé ainsi qu'un risque accru de contamination par le VIH. En raison de la grave atteinte à l'intégrité physique et des conséquences souvent difficiles socialement, psychiquement et sur la santé, les MGF/E portent atteinte en particulier au droit humain à la vie, à l'intégrité physique et à l'autodétermination sexuelle. Les MGF/E sont prises en compte comme motif d'exil lié au genre dans la procédure d'asile.

Informations complémentaires :

https://fim-frauenrecht.de/unsere-themen/genitalbeschneidung

https://www.proasyl.de/news/weibliche-genitalverstuemmelung-ist-ein-asylgrund/

Outre le conseil psychosocial, les offres socio-pédagogiques, psychiatriques et psychothérapeutiques, le soutien psychosocial comprend également des activités créatives et sociales qui tiennent compte des empreintes culturelles, des expériences traumatiques et du statut juridique des personnes en exil.

Le soutien psychosocial qui s'adresse explicitement aux filles et aux femmes réfugiées doit inclure une perspective intersectionnelle, sensible au racisme et au genre.

Les approches de traitement qui s'orientent exclusivement vers les maladies psychiques sans prendre en compte les facteurs de poussée de la société manquent une approche orientée vers les droits humains qui se place solidairement du côté des personnes concernées.

Un soutien adapté aux besoins exige une compréhension globale des situations de vie individuelles et spécifiques à la migration, en tenant compte du contexte dans lequel la violence est apparue et s'est maintenue.

L'origine du concept d'empouvoirement (traduction française pour empowerment) se trouve dans le mouvement des droits civiques et les nouveaux mouvements sociaux aux États-Unis et est donc clairement politique. Depuis plusieurs années, ce concept est de plus en plus répandu en Allemagne et de plus en plus utilisé dans des contextes professionnels tels que le travail (psycho)social.

"La notion d'empouvoirement, dans une perspective critique du racisme, est synonyme d'autonomisation, d'autodétermination, d'auto-libération et de lutte politique. L'empouvoirement décrit donc le processus par lequel les personnes structurellement défavorisées résistent au regard déficitaire qui se pose sur elles et développent leurs propres forces pour participer aux processus de décision politiques et sociaux et améliorer ainsi leurs conditions de vie, indépendamment de la bienveillance de la société majoritaire".Qu'est-ce que l'empouvoirement ? IDA e.V., 2018. )

L'empouvoirement dans le contexte psychosocial est compris comme un processus par lequel les personnes reconnaissent leurs propres ressources et forces afin de les utiliser pour organiser leur propre vie de manière autonome (cf. Norbert Herriger (2020) : L'empouvoirement dans le travail social. Une introduction, p. 15)

Le partage du pouvoir concerne l'action des personnes qui bénéficient d'avantages en raison d'injustices sociales. Le partage du pouvoir s'interroge sur la manière dont ces personnes peuvent utiliser et partager le pouvoir, les ressources et les accès afin de contribuer à une plus grande justice.

"L'approche du partage du pouvoir s'adresse à tou·te·s celleux qui sont structurellement privilégié·e·s et qui ont un intérêt politique à faire évoluer ces structures vers une répartition plus équitable du pouvoir et de l'accès. C'est pourquoi l'approche du partage de pouvoir pose la question suivante : Comment et où puis-je changer mon attitude et mes actions afin de m'engager pour une société juste ?" (Natascha Anahita Nassir-Shahnian (2015) : Partage du pouvoir : Que faire du pouvoir ?!)

Le partage du pouvoir consiste à ce que des personnes structurellement privilégiées écoutent des personnes ayant fait l'expérience de la discrimination ; il s'agit d'assumer la responsabilité de sa propre implication dans des structures violentes ; il s'agit de céder des ressources, de s'effacer, de faire de la place. Il s'agit également d'intervenir en cas d'injustice et de violence.

Pour en savoir plus sur la notion de partage du pouvoir : IDA e.V./Vielfalt Mediathek: Powersharing.

La discrimination est le fait de désavantager ou de rabaisser une personne ou un groupe de personnes sur la base de rapports de force sociaux. La discrimination peut se produire à différents niveaux, par exemple par des propos discriminatoires ou l'expérience de la violence dans la rue (niveau individuel), ou par les institutions, les règles et les normes (niveau structurel et individuel).

La discrimination peut se faire sur la base de différentes caractéristiques (réelles ou attribuées), par exemple l'identité sexuelle (sexisme), l'origine ou la couleur de peau (racisme), ou l'âge (adultisme), et de nombreuses autres caractéristiques identitaires ou attributions.

Une personne peut être touchée simultanément par différentes formes de discrimination. Exemple : une jeune fille ayant fui son pays peut être victime de sexisme et de racisme (et peut-être aussi d'autres formes de discrimination). Les différentes formes de discrimination s'influencent mutuellement. Elles ne peuvent donc pas être simplement "additionnées", mais constituent parfois de nouvelles formes de discrimination. C'est ce que décrit la notion d'intersectionnalité.

En savoir plus sur la notion d'intersectionnalité (avec un exemple) : IDA e.V./Vielfalt Mediathek: Intersektionalität.

LGBTQIA+ décrit les personnes ayant des orientations sexuelles et des identités de genre différentes. L'abréviation signifie Lesbienne, Gay, Bisexuel·le, Transgenre, Queer, Intersexe, Asexuel·le. Le signe plus(+) inclut toutes les personnes qui ne se retrouvent pas dans les catégories nommées.

Dans le contexte de LGBTQIA+, "queer" est considéré comme l'auto-désignation de celleux qui, dans leur identité sexuelle et de genre, ne correspondent pas (ou ne veulent pas correspondre) à l'ordre hétéronormatif et refusent les attributions catégorisantes telles que lesbienne, gay, bisexuel·le, trans* pour leur propre désignation identitaire.

Dans de nombreux pays du monde, des personnes subissent des discriminations intersectionnelles, des violences et des persécutions pénales en raison de leur orientation sexuelle ou de leur identité de genre. Elles peuvent bénéficier d'un statut de protection au sens de la Convention de Genève sur les réfugié·e·s.

Informations complémentaires : https://handbookgermany.de/de/asylum-lgbtqia

"La traite des êtres humains est une grave violation des droits humains.

Le droit pénal allemand fait aujourd'hui référence à des formes très différentes de traite des êtres humains :

  • l'utilisation de la prostitution ou d'autres formes d'exploitation sexuelle
  • le travail forcé ou les services forcés, y compris la mendicité
  • l'esclavage ou les pratiques analogues à l'esclavage, la servitude
  • le recours à des actes punissables ou
  • le prélèvement d'organes

En droit pénal, la notion de traite des êtres humains implique l'exploitation d'une situation de contrainte personnelle ou économique. La situation de contrainte peut également résider dans l'impuissance liée au séjour dans un pays étranger pour les personnes concernées.

Contrairement à une opinion largement répandue, la traite des êtres humains n'est pas nécessairement transfrontalière. Les personnes concernées ne doivent pas nécessairement être amenées à franchir une frontière nationale. Par conséquent, les citoyen·ne·s allemand·e·s ou les personnes ayant un statut de séjour sûr peuvent également être concerné·e·s par la traite des êtres humains". Explication des termes par le KOOFRA - Koordinierungsstelle gegen Frauenhandel e.V. (Centre de coordination contre la traite des femmes). Vous trouverez le texte complet et des informations de fond sur le thème de la traite des êtres humains et des femmes sur le site web du KOOFRA : ici.

L'éducation peut se référer à l'apprentissage en institution, par exemple à l'école, dans un cours de langue, dans une formation, à l'université. Mais l'éducation peut aussi décrire l'acquisition de connaissances et de compétences dans des contextes "informels", par exemple l'apprentissage autonome, ou dans des groupes auto-organisés.

Réduire les injustices structurelles dans le domaine de l'éducation est une tâche politique. L'éducation est un droit humain fondamental. Elle devrait être accessible à tou·te·s de manière égale. Cependant, les jeunes réfugié·e·s sont souvent victimes de discriminations : Par exemple, pendant la période du premier accueil, lors de l'accès à la formation professionnelle et à la promotion de la formation.

L'éducation n'est pas seulement importante pour le développement personnel et les possibilités d'autodétermination, mais aussi pour la participation à la société et les chances sur le marché du travail. Les obstacles à l'accès à un travail équitable peuvent être par exemple : l'absence de permis de travail, les problèmes de reconnaissance des diplômes, la discrimination sexiste et raciste. Les jeunes dépensent souvent beaucoup d'énergie pour lutter contre ces obstacles et pour pouvoir réaliser leur droit à une participation économique autodéterminée. Les structures de conseil et de soutien peuvent les accompagner dans cette démarche.

Plus d'informations pour les jeunes avec une histoire d'exil et leurs aidant·e·s sur le thème de la formation et du travail sur la page thématique correspondante de BumF e.V.

En dehors de la procédure d'asile, il existe différentes possibilités d'assurer le séjour des jeunes qui ne vivent que toléré·e·s en Allemagne : ainsi, les réglementations sur le droit au séjour, une tolérance pour la formation, les commissions pour les cas de rigueur, les situations de danger modifiées dans le pays d'origine, les raisons familiales et les pétitions offrent différentes perspectives sous certaines conditions. De plus, l’opportunité de séjour (Chancen-Aufenthaltsrecht), introduite le 1er janvier 2023, doit permettre aux personnes ayant un statut de tolérance (Duldungsstatus) et ayant vécu plus de cinq ans en Allemagne depuis le 1er octobre 2022, d'obtenir, sous certaines conditions, un permis de séjour "à l'essai" avec leurs proches.

Si la situation de menace dans le pays d'origine change, cela peut justifier une demande d'asile ultérieure ou une demande de constatation d'une interdiction d'expulsion de l'asile.

L'Informationsverbund Asyl & Migration informe sur d'autres options qui, dans certains cas particuliers, peuvent avoir un effet positif sur les réglementations relatives au droit de séjour et aux règles de résidence.

https://www.asyl.net/themen/aufenthaltsrecht/von-der-duldung-zum-bleiberecht

Le réseau Bleiberecht statt Abschiebung (droit de séjour plutôt qu'expulsion) propose également une compilation commentée pour les personnes concernées et celles qui les soutiennent, afin de les renforcer et de les motiver dans leurs luttes pour le droit au séjour : https://bleiberechtstattabschiebung.de/

Des offres utiles en matière de soins de santé complets pour les filles et les jeunes femmes réfugiées nécessitent une conception multidimensionnelle. Les facteurs de (pré)stress liés à la persécution, à la violence et à d'autres problèmes de santé, psychiques et physiques liés à l'exil, tels que le stress, les traumatismes et la dépression, etc. entraînent d'énormes contraintes et des obstacles à la stabilisation de la vie. Le système de santé doit développer une structure d'offre pour les filles et les jeunes femmes réfugiées qui, en plus d'être compréhensible au niveau linguistique, tienne compte de la situation psychosociale et du droit de séjour des patientes et garantisse une attention appropriée aux questions de genre et de traumatisme. En outre, il convient de supprimer les barrières du système de santé, telles que l'absence de prise en charge des coûts des offres de thérapie pour les femmes en procédure d'asile ainsi que l'absence partielle de couverture d'assurance maladie.

La violence désigne une action agressive, un comportement ou une structure qui cause des dommages physiques, psychologiques ou même économiques aux personnes.

Il existe de nombreuses formes spécifiques de violence, par exemple la violence raciste (dont la violence policière raciste), la violence sexiste ou patriarcale, la violence domestique et bien d'autres. Différents groupes de personnes sont touchés par ces formes spécifiques de violence à des fréquences et des intensités différentes en raison des rapports de force sociaux.

Les filles, les femmes, les personnes intersexe, trans* et non-binaires réfugié·e·s en Allemagne sont particulièrement exposées au risque d'être victimes de violences liées au genre et ne sont pas suffisamment protégées dans de nombreux contextes. Par exemple, ces groupes de personnes souffrent particulièrement du manque de concepts uniformes et efficaces de protection contre la violence et d'espaces de protection dans les centres d'hébergement collectif.

Plusieurs organisations de la société civile s'engagent pour une meilleure protection contre la violence ainsi que pour le soutien des personnes réfugiées victimes de violence.

AK Schutzräume sichern : Outil de signalement des incidents de violence policière raciste et de profilage racial (contrôle au faciès) dans les institutions d'aide à la jeunesse.

Premier rapport du Comité d'experts (GREVIO) sur la mise en œuvre de la "Convention d'Istanbul" (Convention du Conseil de l'Europe sur la prévention et la lutte contre la violence à l'égard des femmes et la violence domestique)

Ligne téléphonique d'aide contre la violence envers les femmes : 0800 116 016

Toute personne a le droit de participer aux processus politiques, culturels et sociaux d'une société et de contribuer à les façonner. Les personnes ayant un parcours d'exil et un statut de séjour souvent précaire se voient souvent refuser ces droits. Les organisations autonomes de migrant·e·s sont un soutien précieux pour les jeunes filles et les jeunes femmes réfugiées, car elles apportent les perspectives des personnes concernées elles-mêmes. Pour faire l'expérience de l'efficacité personnelle, les jeunes ont besoin d'espaces de protection et d'autonomisation sûrs. Pour pouvoir participer à la société sur un pied d'égalité, il faut en outre des offres adaptées aux besoins pour comprendre les possibilités de participation existantes.

Les structures d'hébergement pour les jeunes filles et les jeunes femmes réfugiées requièrent une sensibilité particulière dans leur mise en œuvre en fonction des besoins. Outre des professionnel·le·s bien qualifié·e·s, il est nécessaire de disposer d'espaces de vie et de protection sûrs, spécifiques et sensibles au genre, tant pour les jeunes filles et jeunes femmes réfugiées accompagnées que pour celles qui ne le sont pas, afin de les protéger contre le harcèlement sexuel et les actes de violence ainsi que contre les structures abusant du pouvoir des colocataires, du personnel (de sécurité) et des personnes privées externes qui mettent un logement à disposition. L'hébergement dans des camps doit être supprimé. En outre, tant que les camps existent, il est urgent de mettre en place des concepts appropriés de protection contre la violence et des possibilités de recours indépendantes pour les résidentes, ainsi qu'une infrastructure accessible aux offres psychosociales.

Dans toute l'Allemagne, il existe un certain nombre de structures d'hébergement encadrées destinées explicitement aux jeunes filles et jeunes femmes ayant fui leur pays.

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Pour élargir la base de données, il est possible d’effectuer ici ses propres saisies. Nous nous réjouissons de vos propositions concernant des organisations/groupes/initiatives, des offres de conseil et de soutien, des publications, des campagnes et des prises de position. La base de données évolue grâce à vos contributions !


Actualités

  • Campagne de médias sociaux « Solidarité sans frontières. Notre féminisme est antiraciste ».

    Le jour de la lutte féministe, le 8 mars, la campagne de médias sociaux « Solidarité sans frontières. Notre féminisme est antiraciste ! » a été lancée. La campagne est coordonnée dans le cadre du projet « Réseau de jeunes filles et jeunes femmes réfugiées« . Dans le cadre de la campagne, les organisations participantes montrent leur position et formulent des exigences pour les droits et la sécurité des jeunes filles réfugiées et des personnes FLINTA*. Chaque jour, jusqu’au 21 mars, des déclarations des organisations participantes seront publiées sur les canaux de médias sociaux du BumF.

  • Invitation à la manifestation du 8 mars à Potsdam de 11h00 à 14h00

    Le 8 mars, Women in Exile vous invite à descendre ensemble dans la rue à Potsdam. Une manifestation bruyante est prévue devant le ministère de l’Intérieur, suivie d’une manifestation vers le Landtag, pour dénoncer la montée du racisme et la menace qui pèse sur le droit d’asile. La situation devient de plus en plus menaçante, il est temps que la société prenne position.

    Le projet « Réseau de jeunes filles et jeunes femmes réfugiées » soutient l’appel !

  • Cercle d’impulsion en ligne : de nouvelles perspectives pour les femmes réfugiées ?!

    La décision de la CJCE du 16 janvier et ses conséquences (4 mars, 11h-12h)

    Le 16 janvier 2024, la Cour de justice européenne a rendu un nouvel arrêt de principe qui soutient les droits des femmes réfugiées. Pour obtenir le statut de réfugié, l’appartenance à un certain groupe social doit être établie. « Les femmes » étaient jusqu’à présent considérées comme un « groupe trop important » et « impossible à délimiter » – la Cour a précisé que cela ne pouvait toutefois pas être nié en cas de persécution liée au sexe. Exposé d’impulsion suivi d’une discussion.

Offre de conseil

L’association BumF e.V. propose désormais, en plus des consultations individuelles régulières, une consultation consacrée spécifiquement aux demandes concernant les filles et les jeunes femmes réfugiées. L’offre de conseil est liée au « réseau de jeunes filles et jeunes femmes réfugiées ».

Horaires téléphoniques : Mercredi, 10 h 00 – 11 h 00

Téléphone : +49 (0)30 82 09 743 – 0

Par mail, vous pouvez à tout moment adresser vos demandes à l’adresse de conseil :

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