Actualités

  • Campagne de médias sociaux « Solidarité sans frontières. Notre féminisme est antiraciste ».

    Le jour de la lutte féministe, le 8 mars, la campagne de médias sociaux « Solidarité sans frontières. Notre féminisme est antiraciste ! » a été lancée. La campagne est coordonnée dans le cadre du projet « Réseau de jeunes filles et jeunes femmes réfugiées« . Dans le cadre de la campagne, les organisations participantes montrent leur position et formulent des exigences pour les droits et la sécurité des jeunes filles réfugiées et des personnes FLINTA*. Chaque jour, jusqu’au 21 mars, des déclarations des organisations participantes seront publiées sur les canaux de médias sociaux du BumF.

  • Invitation à la manifestation du 8 mars à Potsdam de 11h00 à 14h00

    Le 8 mars, Women in Exile vous invite à descendre ensemble dans la rue à Potsdam. Une manifestation bruyante est prévue devant le ministère de l’Intérieur, suivie d’une manifestation vers le Landtag, pour dénoncer la montée du racisme et la menace qui pèse sur le droit d’asile. La situation devient de plus en plus menaçante, il est temps que la société prenne position.

    Le projet « Réseau de jeunes filles et jeunes femmes réfugiées » soutient l’appel !

  • Cercle d’impulsion en ligne : de nouvelles perspectives pour les femmes réfugiées ?!

    La décision de la CJCE du 16 janvier et ses conséquences (4 mars, 11h-12h)

    Le 16 janvier 2024, la Cour de justice européenne a rendu un nouvel arrêt de principe qui soutient les droits des femmes réfugiées. Pour obtenir le statut de réfugié, l’appartenance à un certain groupe social doit être établie. « Les femmes » étaient jusqu’à présent considérées comme un « groupe trop important » et « impossible à délimiter » – la Cour a précisé que cela ne pouvait toutefois pas être nié en cas de persécution liée au sexe. Exposé d’impulsion suivi d’une discussion.

  • Le réseau des jeunes filles et jeunes femmes réfugiées :

    Regarder en arrière et aller de l’avant (12 mars, 14h – 17h30)

    Dans le cadre du projet Netzwerk geflüchtete Mädchen und junge Frauen, nous vous invitons à célébrer, réfléchir et résumer deux années de travail de projet en mouvement – et à partir de là, à jeter un regard vers l’avant dans un échange commun. Programme : présentation du contenu du projet, échanges, perspectives, projection d’un film avec Mpower e.V.

  • Appel d’offres « Renforcer l’intégration des réfugiés et des migrants queer ».

    Programme de soutien

    Pour la première fois, le LSVD lance un appel d’offres pour des subventions, grâce à la Bosch Stiftung et en collaboration avec la Hirschfeld Stiftung. Les organisations qui souhaitent proposer des projets d’intégration pour les réfugiés et les migrants* queer peuvent postuler pour le programme de soutien. Les projets dans les petites villes et les zones rurales sont particulièrement visés, ainsi que les organisations autonomes de migrants (MSO). La date limite de dépôt des candidatures est fixée au 31.03.2024. Vous trouverez l’annonce complète et tous les documents y afférents sur le site web de lsvd.de

  • Atelier « CLASSISME à l’intersection sur le racisme et le (hétéro/cis)sexisme dans le travail MINTA ».

    Événement

    L’atelier de LAGM*A se penchera sur le classisme dans l’intersection avec d’autres lignes de discrimination (comme le racisme et l’hétéro/cis-sexisme).

  • Violence à l’égard des femmes : La CJUE clarifie les conditions d’octroi de la protection internationale

    Arrêt de la Cour (Grande chambre) 16 janvier 2024

    La directive 2011/95 fixe les conditions d’octroi, d’une part, du statut de réfugié et, d’autre part, de la protection subsidiaire pour les ressortissants de pays tiers. Le statut de réfugié est prévu dans les cas de persécution de ressortissants de pays tiers en raison de leur race, de leur religion, de leur nationalité, de leurs opinions politiques ou de leur appartenance à un certain groupe social. La protection subsidiaire, quant à elle, s’applique à tout ressortissant d’un pays tiers qui ne remplit pas les conditions requises pour obtenir le statut de réfugié, mais qui a présenté des motifs raisonnables de croire qu’il courrait un risque réel de subir des atteintes graves en cas de retour dans son pays d’origine, ce qui inclut notamment l’exécution et les traitements inhumains ou dégradants.

    La Cour décide que la directive doit être interprétée conformément à la Convention d’Istanbul, qui lie l’Union européenne et reconnaît la violence à l’égard des femmes fondée sur le sexe comme une forme de persécution. En outre, la Cour rappelle que les femmes dans leur ensemble peuvent être considérées comme appartenant à un groupe social au sens de la directive 2011/95. Par conséquent, le statut de réfugié peut leur être accordé si elles sont exposées à des violences physiques ou psychologiques, y compris des violences sexuelles et domestiques, dans leur pays d’origine en raison de leur sexe.

  • Prise de position sur la Journée internationale contre la violence à l’égard des femmes 2023

    La « Journée internationale contre la violence à l’égard des femmes », le 25 novembre, et les journées d’action qui suivront (du 25 novembre au 10 décembre) seront consacrées à la lutte contre la violence patriarcale quotidienne à laquelle sont confrontées les filles et les FLINTA* dans le monde entier.

    À l’occasion de cette journée, la Bundesfachverband unbegleitete minderjährige Flüchtlinge e.V. (association fédérale des réfugiés mineurs non accompagnés) et plus de 25 autres organisations exigent la mise en œuvre complète et effective de la « Convention sur la prévention et la lutte contre la violence à l’égard des femmes et la violence domestique » (Convention d’Istanbul) et réitèrent différentes exigences pour une protection efficace contre la violence pour les filles réfugiées et FLINTA* !

  • Séparation Impossible

    Événement

    Le statut de séjour des femmes réfugiées* est souvent lié à leur mariage avec leur mari. Même si celui-ci est violent. Si elle le quitte, elle perd son permis de séjour. Si elle tente de s’opposer à son mari, il peut la menacer de séparation et, même ainsi, elle perd son droit de séjour.

    Cette année encore, la pièce de théâtre RENCONTREimpossible sera jouée à l’occasion de la Journée internationale contre la violence à l’égard des femmes.

    L’entrée est basée sur les dons.

    Quand: 25 novembre, 19h

    Où : Spore.Initiative, Hermannstraße 86, 12051 Berlin

    * Ce texte a été traduit automatiquement

  • Journées d’étude en ligne sur le travail trans*inclusif avec les filles

    Événement

    +++ Save-The-Date +++

    14.03.2024 | toute la journée Journée de réseautage en ligne « Échange et empowerment pour les professionnels trans*, non-binaires et inter » uniquement pour les professionnels TIN* en lien avec le domaine du travail avec les filles*.

    16/17.04.2024 | Journée d’étude en ligne « Vers un travail trans*inclusif avec les filles* – questions, défis, expériences » pour tous les professionnels intéressés par le travail avec les filles*.

  • Quel est le rapport entre la traite et l’exploitation des êtres humains et notre travail ?

    Événement

    Pour beaucoup d’entre nous, la question de la traite des êtres humains semble lointaine. C’est difficile à croire, mais la traite des êtres humains est toujours présente au 21e siècle, et ce partout dans le monde.
    est disponible. Les personnes concernées ont de nombreux visages et histoires de vie. Il leur est difficile de faire état de ce délit inhumain. Les personnes qui travaillent avec
    Les personnes qui sont en contact avec elles, qu’il s’agisse de professionnels ou de bénévoles, rencontrent souvent ces personnes sans avoir de connaissances de base sur ces événements particuliers. Les aidants ont beaucoup de questions et d’incertitudes pendant l’accompagnement. C’est pourquoi c’est un grand défi de comprendre le comportement des personnes concernées afin de les aider au mieux.

    Quand : 23.11.2023 | 17h15 – 19h15

    Lieu : Centre culturel Lagerhaus Bremen e.V. Schildstraße 12-19, 28203 Brême

    Orateur : Helene Gustschew

    inscription : [email protected]

    Veuillez indiquer votre nom, votre e-mail et, le cas échéant, votre adresse e-mail lors de l’inscription. Indiquer l’organisation

    * Ce texte a été traduit automatiquement

  • À l’occasion de la Journée internationale pour l’élimination de la violence à l’égard des femmes

    Lecture de livres avec Women in Exile

    À l’occasion de la Journée internationale pour l’élimination de la violence à l’égard des femmes (25 novembre), le projet Netzwerk geflüchtete Mädchen und junge Frauen (réseau de filles et de jeunes femmes réfugiées) et Women in Exile invitent à une lecture de livre à Berlin. Des activistes de Women in Exile liront des extraits du livre « Breaking Borders to Build Bridges : 20 Years of Women in Exile ». Le livre, écrit collectivement par Women in Exile, est un recueil de textes sur la fuite, la survie, la situation dans les camps de réfugiés et sur les 20 ans d’engagement en tant que groupe de femmes réfugiées pour l’abolition des camps et pour la liberté de circulation.

    Quand: 21 novembre 2023, 18h30 – 20h30

    Où : Aquarium (bloc sud) Admiralstr. 1-2, 10999 Berlin

    Plus d’infos ici.

    Séminaire d’approfondissement « Persécution sexospécifique des filles et des jeunes femmes

    En Allemagne, la persécution liée au sexe est reconnue légalement comme un motif de fuite. Les victimes de persécutions liées au genre sont considérées comme des personnes particulièrement vulnérables au sens de la directive sur l’accueil et bénéficient à ce titre de garanties procédurales particulières.

    Dans la pratique, on constate toutefois un grand écart entre le nombre de personnes concernées observé par les services de conseil spécialisés et le très faible nombre de reconnaissances effectives dans la procédure d’asile. A cela s’ajoute le fait que, sur l’ensemble du territoire, il manque une identification précoce et systématique des personnes concernées et que les filles* et les jeunes femmes* n’ont guère accès aux informations concernant leurs propres droits.

    Outre un vaste apport théorique illustré d’exemples de cas concrets, il y aura également de la place pour les questions, les échanges et la discussion.

    Intervenante: Claire Deery, avocate

    Plus d’infos et inscription ici.

  • Nouvelle publication du Cercle fédéral de coordination contre la traite des êtres humains (KOK) e.V.

    Collecte de données sur la traite et l’exploitation des êtres humains en Allemagne – Rapport KOK 2022

    Le KOK e.V. a publié son quatrième rapport de données sur la traite et l’exploitation des êtres humains en Allemagne. La situation en 2022 y est abordée. La collecte de données des services de consultation spécialisés pour les victimes de la traite des êtres humains fournit des informations importantes sur la pratique de la consultation en Allemagne.

  • Femmes et filles en Afghanistan – Deux ans après la prise de pouvoir des talibans

    Il y a deux ans, les talibans ont pris le contrôle de l’Afghanistan après le retrait mouvementé des troupes de l’OTAN. Cela a entraîné une augmentation drastique de la répression et de la violence flagrante dans le pays. Les cibles de cette répression sont les journalistes, les personnes LGBTQI+, les militant·e·s des droits des femmes et des droits humains, les anciens collaborateur·ices du gouvernement et bien d’autres encore. En même temps, les chemins d’exil sont très dangereux, il n’y a guère de possibilité de quitter le pays en toute sécurité. Les conséquences de la prise de pouvoir des talibans sont particulièrement graves pour les femmes et les filles du pays.

  • Réunion en ligne du « Réseau de jeunes filles et jeunes femmes réfugiées » („Netzwerk geflüchtete Mädchen und junge Frauen“)

    L’association BumF e.V. invite le 27 septembre, de 10h à 12h30, à la rencontre numérique du réseau dans le cadre du projet « Netzwerk geflüchtete Mädchen und junge Frauen » (« Réseau de jeunes filles et jeunes femmes réfugiées »). La première partie de la manifestation sera consacrée aux développements actuels du projet. Il y aura également un espace d’échange et de mise en réseau. La deuxième partie de la manifestation sera consacrée à la situation des filles et des femmes d’Afghanistan. Alema Alema, chargée de mission pour l’Afghanistan chez Pro Asyl, fera un exposé sur ce sujet.
    Pour s’inscrire : merci d’envoyer un mail avec l’objet « Netzwerktreffen » avant le 20.09. à [email protected].

  • Webtalk du LSVD : Les jeunes réfugié·e·s LGBTIQ* dans le travail social

    Am 26. September 2023, 14.00 bis 15.30 Uhr: Flüchtlingsunterkünfte sind für junge lesbische, schwule, bisexuelle, trans*, intergeschlechtliche und queere (LSBTIQ*) Geflüchtete häufig Angsträume. Es gibt kaum Unterstützungsangebote. Schutzkonzepte, die auch minderjährige LSBTIQ*-Geflüchtete mit einbeziehen, selten. Wie können Fachkräfte in Unterkünften, und vor allem in der Kinder- und Jugendarbeit, junge LSBTIQ*- Geflüchtete stärken? Was sind ihre spezifischen Herausforderungen in den Bereichen Gesundheit, Unterbringung oder in der Selbstbildung/Identitätsbildung?

  • Pour un vrai changement de cap – Appel à manifester à l’occasion de la conférence des ministres de l’Intérieur à Berlin !

    La politique allemande à l’égard des personnes réfugiées continue de miser avant tout sur la dissuasion. Les conséquences quotidiennes sont une vie dans des logements de masse, des interdictions de travailler, des expulsions, des violences policières racistes et l’exclusion sociale. Jugendliche ohne Grenzen (Jeunes sans frontières) et une alliance d’organisations de la société civile demandent un véritable changement de cap. Venez manifester à l’occasion de la conférence des ministres de l’Intérieur à Berlin. Toutes les informations et l’appel à la manifestation (avec possibilité de co-signer) sont disponibles ici.

  • Outil de travail : Médiation linguistique pour les personnes réfugiées dans le domaine de la santé et des droits sexuels et reproductifs : Recommandations pratiques pour les médiateur·ices linguistiques.

    Un nouvel outil de travail du Paritätischer Gesamtverband (Association paritaire) donne des recommandations d’action pour la pratique de l’interprétariat linguistique dans le domaine de la santé et des droits sexuels et reproductifs. En tant que guide, cet outil de travail s’adresse directement aux interprètes communautaires qui travaillent (ou souhaitent travailler) dans ce domaine avec des personnes réfugiées. Elle sert également d’orientation pour toutes les personnes intéressées dans les services de conseil et les institutions concernées qui font déjà appel à des interprètes communautaires ou qui souhaiteraient les engager à l’avenir.

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